La forme et la texture du Svakom Pulse Lite Neo ne sont pas les plus engageantes ni les plus confortables. En revanche, sa compacité et son poids léger rendent plutôt agréable la prise en main. C'est donc tout naturellement que le petit sextoy se niche dans l’entrejambe, tandis que l’orifice trouve sa cible sans coup férir, qu'on l'utilise en solo ou en duo.
L’unique bouton embarqué tombe naturellement sous le doigt, et l’avantage avec un panneau de contrôle complètement épuré est qu’on n’a pas à se demander à quelle commande se vouer.
La partie commence à faible intensité pour se mettre en jambes. Étonnamment, les pressions les plus légères se font déjà ressentir (on est à 4,2 m/s²), bien plus que sur le Womanizer Next par exemple, dont on doutait de sa mise en route activé à puissance minimale (1,3 m/s²). Avec le Svakom Pulse Lite Neo, les sensations sont perceptibles d'emblée, ce qui pourrait convenir parfaitement aux femmes qui souhaitent se faire plaisir en douceur.
Progressivement, nous augmentons la puissance de l’appareil pour trouver la jouissance entre les troisième et quatrième niveaux, c’est selon. Ce qui est dommage avec ce système de bouton unique, c’est qu’il est impossible de passer d’un niveau à l’autre d’une seule pression, il faut forcément les faire défiler pour réajuster l’intensité de succion. C’est peut-être l’un des plus gros problèmes de ce sextoy : l’enchaînement de manipulations casse un peu le délire dans lequel on aime se plonger.
La puissance maximale atteint 17,4 m/s², moindre que celle de certains sextoys de notre comparatif (l'Aura de My Lubie grimpe jusqu'à 28,5 m/s²), mais compensée par la largeur de l’orifice qui cible précisément la zone à stimuler. Cette puissance associée à une bouche d’un diamètre de 2 cm suffit amplement, y compris pour les plus initiées.
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