News bon plan Apple : l’iPhone 13 s’affiche enfin en promo et c’est rare
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Les promotions sur les produits Apple sont rares. Et même si ce n’est que quelques pourcents en moins, c’est toujours bon à prendre. Alors que la firme de Cupertino résiste encore sans trop de problèmes à l’agressivité de sa concurrence directe, l’iPhone 13 mini baisse son prix.
Jamais on aurait cru pouvoir nous offrir un iPhone 13 à ce prix !
L’iPhone 13, vous le connaissez forcément, et que l’on aime ou non Apple, nous sommes bien obligés de reconnaître que les produits de la marque sont relativement chers. La moindre ristourne est donc la bienvenue !
Aujourd’hui, c’est Amazon qui nous régale avec une promotion sur l’iPhone 13 mini qui vient de voir son prix perdre exactement 65€ sur Amazon.
La qualité Apple ne nous a jamais déçu, surtout quand l’iPhone 13 mini est à 744€
Il s’agit du tout dernier iPhone sorti par Apple fin 2021, et on peut dire qu’il vient avec son lot de réjouissances. Si vous ne pouvez pas attendre l’iPhone 14 qui devrait arriver fin 2022, l’iPhone 13 reste malgré tout un smartphone récent et suffisamment puissant pour tenir la route.
L’iPhone 13, comme tous les iPhone, est facilement identifiable grâce à un design bien rodé et travaillé aux petits oignons. On y retrouve un écran OLED Super Retina XDR de 6,1 pouces avec une luminosité au rendez-vous.
La puce A15 Bionic développée par Apple est impressionnante et vous garantit de ne subir aucun ralentissement lorsque vous jouerez dessus ou lorsque vous scrollerez sur vos réseaux sociaux.
Avoir un appareil Apple vous permet aussi de placer un pied dans l’écosystème de la marque. Ainsi, si vous avez par exemple une Apple Watch, des AirPods ou même un Macbook, tous ces appareils seront synchronisés entre eux et profiteront d’une meilleure ergonomie.
Vous disposerez d'une batterie exceptionnelle, capable de visionner jusqu'à 17 heures de vidéo et offrant plus de temps pour regarder des séries, jouer à des jeux et faire tout ce que vous aimez.
Pour ce qui est de la durabilité, l'iPhone 13 Mini a été conçu pour durer plus longtemps que les autres smartphones et créé dans le souci de l'environnement en utilisant des matériaux recyclés.
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Pas de panique ! Si un astéroïde devrait bel et bien "frôler" la Terre dans la nuit de samedi à dimanche, cela devrait se faire avec une distance plus que raisonnable. Selon la Nasa, l'astéroïde 2013 CU83 va survoler la planète dès 23h30 ce samedi. Ce corps céleste est impressionnant puisque, d'après les scientifiques, il pourrait mesurer jusqu'à 320 mètres de diamètre soit...la taille de la Tour Eiffel.
Pour autant, nul besoin de vous terrer dans votre cave dès maintenant. En effet, selon les spécialistes de l'observation spatiale, l'astéroïde passera à plus de 6.900.000 kilomètres de la Terre, soit environ 18 fois la distance entre la Terre et la Lune. Si pour le commun des mortels, cette distance paraît immense, pour les experts, il n'en est rien. En effet, à l'échelle de l'univers, une telle distance est considérée comme faible.
News jeu PlayStation Plus : les offres Extra et Premium font des émules, le nombre d’abonnés grimpe en flèche
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Pour Sony, la situation est actuellement compliquée sur les chaînes d’approvisionnement. Même si la PlayStation 5 continue de gagner du terrain, les difficultés sont bel et bien là. Si, d’un côté, la société japonaise doit faire face à des chiffres en baisse, tout n’est pas perdu pour cette dernière. Pour cela, il suffit de jeter un œil du côté du nombre d’abonnés au PlayStation Plus, et il n’est pas impossible que les formules inédites aient su séduire de nouveaux joueurs.
Sommaire
Les ventes de PS5 augmentent, mais ça coince côté logiciel
Les premiers effets du PlayStation Plus Essential/Extra/Premium ?
Les ventes de PS5 augmentent, mais ça coince côté logiciel
De manière générale, et aux dernières nouvelles, le secteur du jeu vidéo se porte bien. Grâce à certaines analyses chiffrées autour du nombre de copies vendues pour les productions inédites de 2022 en Europe, on comprend qu’il y a de quoi sourire pour les différents constructeurs malgré les difficultés sur les chaînes d’approvisionnement. Pour Sony et PlayStation, le bilan est en demi-teinte : la PS5 progresse bien puisqu’au 31 juin 2022 on dénombre pas moins 21,7 millions d’exemplaires distribués, soit 2,4 millions de plus au cours du dernier trimestre. Là où le bât blesse, c’est du côté des ventes de logiciels : la société ayant abaissé ses prévisions de bénéfices de 400 millions de dollars.
Néanmoins, il y a une petite donnée supplémentaire, découlant de l’augmentation du nombre de consoles next-gen distribuées, qui permet à Sony et PlayStation de garder le sourire. En mars dernier, la société japonaise a fait le pari de revoir le système de son abonnement en ligne, le PlayStation Plus, dans le but de lancer, quelques mois plus tard, sa relecture du Xbox Game Pass de Microsoft. En fusionnant ainsi le PlayStation Plus, le PlayStation Now et en lorgnant vers le rétrogaming, Sony s’est peut-être ouvert les portes d’un public bien plus enthousiaste qu’auparavant : les abonnés sont au rendez-vous, mais l'avenir nous dire si l'initiative va porter ses fruits dans la durée.
Parmi la multitude de chiffres qui sortent actuellement à propos de PlayStation et de sa dernière console en date, on apprend que le nombre d’abonnés du programme PlayStation Plus a connu une jolie augmentation en comparaison de l’année précédente. Tandis que les dernières données de juin 2021 annonçaient un total de 46,3 millions d’utilisateurs, le chiffre s’élèverait désormais à 47,3 millions. Et il y a plusieurs choses qui pourraient expliquer ce nouveau million de joueurs convaincus.
Dans nos contrées, le lancement s’est effectué le 23 juin dernier (et au plus tôt, en Asie, à la fin du mois de mai) et il se pourrait que les différentes formules aient rapidement convaincu les joueurs de passer à la caisse, notamment en raison de l’enrichissement des offres du catalogue. L’explication ne peut tenir qu’avec ce simple argument, mais l’accroissement des ventes de PS5 est un bon complément. En faisant l’acquisition d’une PS5 durant les douze derniers mois, les joueurs ont, de toute évidence, fait le choix de se doter d’un abonnement en ligne pour bénéficier des fonctionnalités réseaux. À voir si la tendance restera à la hausse durant les douze prochains mois !
À partir du Samsung Galaxy S23, les fleurons de Samsung utiliseront les puces Qualcomm Snapdragon. Les deux firmes ont signé un accord historique.
Il fut un temps où les marques pouvaient s’équiper en puces SoC chez de nombreux fabricants : Texas Instruments, Qualcomm ou même Nvidia proposaient chacun leurs produits. Progressivement, Qualcomm est devenu hégémonique sur le marché, même si la concurrence de MediaTek est toujours là.
Les fabricants avaient toujours l’opportunité de développer leurs propres puces en interne. Apple est très connu pour le faire, mais c’est aussi le cas de Samsung et de ses Exynos. Cette division prend un coup sur la tête avec la signature d’un accord historique entre Qualcomm et Samsung Electronics.
Tous les produits haut de gamme passent chez Qualcomm
L’accord est très clair : Samsung accepte d’étendre sa collaboration avec les plateformes Snapdragon aux futurs produits haut de gamme Samsung Galaxy. Cela inclut les smartphones, et on pense évidemment au prochain Samsung Galaxy S23, mais également les futurs PC, tablettes et casques de réalité étendus. Le communiqué laisse la porte ouverte à des catégories de produits supplémentaires, comme peut-être les montres connectées.
Au mois d’avril, nous apprenions que Samsung envisageait de se fournir chez MediaTek pour le Galaxy S22 FE et le Galaxy S23. Il s’agissait peut-être d’un argument de la marque dans sa négociation avec Qualcomm. Avec cet accord, cela ne semble plus être à l’ordre du jour.
On ignore cependant encore si Samsung continuera à décliner ses futures gammes Galaxy S en deux versions, l’une avec puce Snapdragon aux États-Unis, et l’autre avec puce Exynos en Europe et en Asie. On peut penser que tous les prochains modèles haut de gamme passent désormais vers des puces Qualcomm Snapdragon, même si cela n’a pas encore été confirmé par les deux groupes. Samsung a tout de même voulu rassurer concernant l’avenir des Exynos avec une explication de sa stratégie.
Viser les brevets sur la 6G
Cet accord ne concerne pas seulement les futurs produits Samsung Galaxy et les plateformes Snapdragon. Qualcomm et Samsung se sont mis d’accord sur un échange de licences autour de leurs brevets sur la 3G, la 4G et la 5G.
Le communiqué va jusqu’à mentionner la future 6G avec un échange jusqu’à l’horizon 2030.
Sony Interactive Entertainment vient d'annoncer la sortie prochaine d'une nouvelle mise à jour du logiciel de la PlayStation 5, avec au programme la prise en charge du format 1440p pour les écrans compatibles et la capacité surpuissante de ranger ses jeux dans des dossiers. Le futur ? C'est maintenant.
Comme expliqué sur le PlayStation Blog par Hideaki Nishino, le grand maître de l'expérience utilisateur chez PlayStation, c'est dès aujourd'hui que certains utilisateurs sélectionnés par email pourront tester les fonctionnalités de cette mise à jour avant son déploiement officiel. Notons que les participants seront appelés aux États-Unis, au Canada, au Japon, au Royaume-Uni, en Allemagne et en France seulement.
Encore faudra-t-il posséder un téléviseur ou un écran de PC compatible 1440p pour tester ce nouvel affichage intermédiaire, à condition bien sûr que le jeu prenne en charge cette définition. Si le jeu propose une résolution native supérieure, comme la 4K, l'utilisateur bénéficie d'un anticrénelage amélioré grâce au suréchantillonnage vers la sortie 1440p. Pour savoir si votre écran est compatile 1440p, il suffit de faire le test dans les paramètres de la PS5 (menu Écran et vidéo). Remarque : le taux de rafraîchissement variable (VRR) sur PS5 prend en charge les sorties vidéo 1080p et 4K, mais pas la résolution 1440p.
L'autre grande nouveauté de la mise à jour est la capacité de créer des dossiers (ou des listes, selon le terme utilisé par Sony) pour organiser ses jeux, une fonctionnalité qui arrive à point nommé étant donné le nombre de jeux que les abonnés PlayStation Plus Extra et Premium peuvent être tentés de télécharger sans retenue. Pour créer un dossier, il faut commencer par accéder à l'onglet "Votre collection", puis sélectionner "Créer une liste de jeux". Il suffit ensuite de choisir les jeux concernés et de nommer le dossier. L'utilisateur peut créer un maximum de 15 dossiers et chaque dossier peut rassembler jusqu'à 100 jeux. Cela peut paraître excessif étant donné les limites du stockage de la console, sauf que les jeux en streaming peuvent aussi être rangés dans les dossiers.
Les autres nouveautés de la mise à jour incluent la possibilité de comparer l'audio 3D et l'audio stéréo depuis un même écran, un accès simplifié aux activités en cours et quelques nouvelles fonctionnalité sociales (demander le partage d'écran, afficher le profil d'un nouvel ami, envoyer des messages et autocollants dans la Game Base). Tout est expliqué et illustré dans l'article du PlayStation Blog.
News jeu GTA 6 : Pour réaliser son futur hit, Rockstar aurait opéré une véritable révolution en interne !
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Enfin ! Après de nombreux fakes et rumeurs plus ou moins fiables, nous avons eu droit à des informations d'une toute autre ampleur, transmises par l'inévitable Jason Schreier. Mais en plus de détails sur le futur jeu, nous avons appris que de nombreux changements avaient eu lieu au sein de Rockstar Games.
GTA 6 : enfin des informations solides
Dans un long article publié sur Bloomberg, Jason Schreier explique que, pour la première fois, les joueurs pourront incarner une femme latino-américaine et un autre personnage en guise de personnages principaux. L'ambition serait de proposer une ville inspirée de Miami et de ses environs, mais ce n'est pas tout. Au fil des mois et des années, d'autres villes seraient ajoutées''', tandis que le monde serait en constante évolution.
A l'heure actuelle, l'aire de jeu serait bien plus vaste que n'importe quel autre jeu GTA. S'il faut évidemment prendre ces informations avec des pincettes en attendant des annonces officielles, on peut toutefois compter sur la grande fiabilité de Jason Schreier, habitué aux longues enquêtes. Ce dernier précise enfin que ses sources lui auraient indiqué que la sortie n'aurait pas lieu avant deux ans minimum. Tous les détails concernant le jeu en lui-même sont à retrouver dans notre news dédiée.
Rockstar aurait fait sa révolution
Si ces solides informations vont évidemment créer beaucoup de théories, Jason Schreier ne s'en contente pas. Il met ces révélations en lien avec de grands changements opérés chez Rockstar Games, et qui font figure de véritable révolution. Pendant très longtemps, Rockstar a été connu pour entretenir la culture du crunch, apparaissant selon les témoignages comme un véritable boys club (alcool, bagarres, sorties dans des strip-clubs selon l'article). De nombreuses choses ont été mises en avant lors d'une grande enquête publiée en 2018, une enquête qui aurait poussé les responsables à tout revoir.
Rockstar Games a passé ses quatre dernières années à revoir sa culture d'entreprise pour devenir une société plus gentille et plus progressiste. Mais à quoi cela ressemble-t-il ? Et que cela implique pour le prochain jeu de la boîte, GTA 6 ?, a déclaré J. Schreier.
Jason Schreier indique avoir interrogé plus de 20 personnes, qui font part d'une transformation de Rockstar en "véritable entreprise". Le moral général n'aurait jamais été aussi haut, et les employés auraient assisté à une restructuration du pôle de conception, et à un contrôle accru des heures supplémentaires par l'intermédiaire de l'ajout de managers supplémentaires. Evidemment, ces changements auraient causé quelques couacs de communication ou lors de la validation de certaines fonctionnalités, certains employés ne sachant plus qui s'occupait de quoi.
Ces changements auraient bousculé les habitudes de production, et cela expliquerait un temps de développement plus long. On parle également des changements d'horaires plus favorables, la transformations d'emplois précaires en temps pleins, tandis que, pendant la pandémie, les salariés auraient reçu des colis comprenant des soins, des masques, ainsi que des primes surprises.
Toujours dans cette optique de créer un espace de travail plus sain, les salariés auraient eu accès à de nouvelles prestations de santé liées à la santé mentale, tandis que le personnel pourrait désormais transformer chaque heure supplémentaire en congé, offrant ainsi plus de flexibilité. Enfin, après enquêtes, plusieurs collaborateurs ayant eu des comportements abusifs auraient été poussés vers la sortie, dont Imran Sarwar, qui a été accusé "par plusieurs employés d'intimidation et de violence verbale".
(...) Et au cours des quatre dernières années, la direction a promis que des heures supplémentaires excessives ne seraient pas nécessaires pour Grand Theft Auto VI. Le respect de cet engagement a déjà entraîné des changements dans le jeu. Les plans originaux pour le titre, qui porte le nom de code Project Americas, devaient être plus vastes que n'importe quel jeu Grand Theft Auto à ce jour. Les premières conceptions prévoyaient l'inclusion de territoires inspirés de vastes étendues d'Amérique du Nord et du Sud, selon des personnes familières avec les plans.
Un projet rallongé, mais un studio bien plus attractif ?
La zone de Miami et de ses alentours serait donc une portion du projet initial, qui a été découpé en plusieurs morceaux pour éviter le crunch, quitte à continuer d'ajouter du contenu pendant plusieurs années. Pour justifier la réussite globale de la mise en oeuvre de ces changements, certains témoignages pointent vers le succès sans fin de GTA V et de son mode Online, offrant une grande marge de manoeuvre.
Si certains développeurs semblent avoir quitté Rockstar North lassés du manque de progrès, d'autres indiquent que cette nouvelle culture d'entreprise pourrait faciliter le recrutement et la rétention des développeurs. Il ne reste plus qu'à attendre pour découvrir GTA 6, qui portera sans doute les traces de ce changement global de culture interne.
Deux ans après son lancement, le casque VR Quest 2 de Meta (ex-Oculus/Facebook) va bientôt changer de prix, mais pas dans la direction qu'on aurait attendue. C'est en effet une hausse de 100 € qui va s'appliquer aux deux modèles disponibles.
S'il fallait encore une preuve que le monde de la tech fonctionne la tête à l'envers ces temps-ci, la dernière nous arrive en provenance de Meta. Deux ans après le lancement du casque de réalité virtuelle autonome Oculus Quest 2, la convention aurait voulu que si son prix devait être révisé, ce serait à la baisse. Mais c'est bien l'inverse qui va se produire : à partir du mois d'août 2022, l'étiquette tarifaire va être gonflée de 100 € pour les deux modèles disponibles.
Il faudra donc débourser 449 € et 549 € respectivement pour les versions 128 Go et 256 Go du casque, au lieu des prix de 349 € et 449 € encore valables pour quelques jours. Il faut également s'attendre à des hausses de prix sur les accessoires, par exemple le serre-tête Elite rigide. Pour faire passer la pilule, l'incontournable jeu de rythme Beat Saber sera offert à tous les nouveaux acheteurs d'un Quest 2 jusqu'au 31 décembre 2022.
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La hausse des coûts de fabrication comme justification
Pour justifier cette augmentation, Meta évoque sans surprise la conjecture actuelle et la violente inflation du prix des matières premières, qui pèsent lourd sur le coût de production du casque. L'entreprise souligne par ailleurs les "milliards de dollars" investis "pour favoriser et développer un écosystème VR florissant", et assure que ces hausses tarifaires lui permettront "de continuer à investir dans la recherche et le développement de nouveaux produits révolutionnaires qui porteront l'industrie de la VR vers de nouveaux sommets".
Ce n'est pas la première fois, avec la période éminemment complexe que le monde traverse actuellement, qu'un produit technologique voit son prix ajusté à la hausse. On se souvient par exemple de l'augmentation appliquée en janvier 2022 par Nvidia à ses cartes graphiques RTX 30 Founders Edition, un an et quelques mois après le lancement des premiers modèles de la série. Cependant, le cas du Quest 2 est remarquable par l'ampleur proportionnelle de la hausse : exprimée en pourcentage, la hausse enregistrée par le modèle d'entrée de gamme, à 128 Go de stockage, s'établit à une valeur vertigineuse de 27 %. La situation est même encore plus spectaculaire aux États-Unis, puisque sur ses terres natales, ce même modèle enregistre +33 %, de 299 à 399 $ (le modèle 256 Go, quant à lui, y passe de 399 à 499 $).
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Une nouvelle approche plus raisonnable du marché ?
Il convient de noter que dès sa mise sur le marché initiale à l'automne 2022, le Quest 2 était vendu à un tarif extrêmement agressif. Son prix d'appel à 299/349 € était, et est encore aujourd'hui, parfaitement inédit pour un casque VR avec ce niveau d'équipement, et quand bien même le coût de fabrication du casque n'a jamais été rendu public, il ne fait quasiment aucun doute qu'il était vendu à fortes pertes par Facebook/Meta.
Cela faisait partie de la stratégie de l'entreprise pour accélérer coûte que coûte l'adoption de la VR par le grand public, tout cela pendant qu'en coulisses se préparaient déjà les grands projets concernant le fameux métavers. Seulement voilà, deux ans plus tard, lesdits projets se sont avérés faramineusement coûteux pour l'entreprise de Mark Zuckerberg, et même une organisation au compte en banque aussi opulemment rempli ne pouvait se permettre de contempler un gouffre de 13 milliards de dollars sans réagir. On oserait donc conjecturer que ces nouveaux prix témoignent aussi d'une nouvelle approche bien plus raisonnable du marché.
Rappelons enfin que Meta prévoit de lancer d'ici à la fin de l'année 2022 un nouveau modèle de casque VR autonome, que l'on connaît aujourd'hui sous le nom de code Project Cambria. S'il se murmure que l'appareil pourrait au final être baptisé Quest Pro, il ne remplacera pas pour autant le Quest 2, et se positionnera bien plus haut en gamme : les bruits de couloirs évoquent un prix supérieur à 1000 €. Pour ce qui est d'un éventuel "vrai" Quest 3, il faudra sans doute se montrer encore très patient.
« Lorsque les enfants qui naissent aujourd'hui atteindront la cinquantaine, Jeanne Calment ne figurera même plus parmi les 100 personnes les plus âgées de tous les temps. Et au tournant du siècle prochain, on dira d'une personne morte à 122 ans qu'elle a eu une vie bien remplie, mais pas particulièrement longue, au point même qu'on ne parlera plus de longévité ; ce sera simplement 'la vie', et on regardera avec commisération la période de notre histoire où les choses en étaient autrement. » Le professeur de génétique à la Harvard Medical School David A. Sinclair en est convaincu : l'humanité est arrivée à un tournant de son histoire en tant qu'espèce.
Jusqu'ici, sur les plus de 100 milliards d'Homo sapiens qui ont à une époque ou à une autre foulé cette Terre, on n'en connaît qu'un seul - ladite Jeanne Calment, donc - qui ait franchi la barre des 120 ans. L'exception qui confirme la règle. Car la règle, cela reste de mourir avant 100 ans, sort de 99,98 % d'entre nous. Même dans des conditions de vie aussi favorables que celles offertes par les pays développés, et en bénéficiant de toutes les avancées de la médecine moderne, nos chances de devenir centenaires ne sont que de trois sur cent ; quant à celles d'atteindre 115 ans, elles ne dépassent pas une sur cent millions, cinq fois moins que de décrocher le jackpot au loto.
Dit autrement, si la moyenne a spectaculairement augmenté (l'espérance de vie a gagné vingt ans entre 1960 et aujourd'hui), la limite, elle, n'a pas bougé d'un pouce. Du moins... pour le moment, nous glisse à l'oreille le chercheur de Harvard, qui ne doute pas que ce plafond (pas même de verre !) aura, d'ici quelques décennies, disparu d'au-dessus de nos têtes.
Le vieillissement, une maladie
Car, comme il l'explique avec force arguments dans son passionnant ouvrage « Pourquoi nous vieillissons » (Quanto, janvier 2022), vieillir n'est pas une fatalité. Ni le vieillissement, ce processus naturel, inéluctable et irréversible - avec la mort au bout - que nous nous sommes trop longtemps résignés à voir en lui. C'est, nous dit-il, et la plupart des spécialistes du vieillissement avec lui, une maladie. Ou plutôt « la » maladie, celle à l'origine d'un grand nombre d'autres - toute cette ribambelle de maux et de calamités qui rendent l'automne et l'hiver de nos vies tellement moins riants et insouciants que leurs printemps et été.
Or, assure encore David Sinclair, cette maladie princeps, nous en avons aujourd'hui percé la nature profonde et compris les principaux mécanismes. Et, ajoute-t-il, le temps n'est plus si éloigné où nous serons capables de la contrer... pour peu que nous nous en donnions les moyens et que nous investissions dans ce domaine d'étude les mêmes sommes que contre les maladies cardiovasculaires ou le cancer.
Depuis les années 1960, la médecine occidentale a énormément progressé dans sa lutte contre ces deux derniers fléaux. Mais, quand bien même elle serait en mesure de guérir tous les cas de maladies cardiovasculaires, notre durée de vie moyenne n'en serait que peu augmentée : de 1,5 an seulement. Idem pour tous les cas de cancer : leur guérison systématique ne nous ferait gagner que 2,1 années de vie supplémentaires. Pourquoi des accroissements si marginaux ? Tout simplement parce que le risque de développer une maladie mortelle - quelle qu'elle soit : cardiopathie, cancer ou autre - est multiplié par 1.000 entre 20 et 70 ans ; régler un problème de santé laisse le champ libre à tous les autres, et ne recule pas de beaucoup l'heure d'aller prendre sa place au cimetière.
La vogue des antioxydants
C'est pourquoi la seule maladie dont la guérison ferait sauter le plafond des 100 ans et basculer le genre humain dans une nouvelle ère est celle-là même qui fait que notre risque d'avoir un infarctus, une tumeur ou toute autre pathologie grave augmente exponentiellement avec l'âge, à savoir le vieillissement de notre organisme. Mais que se passe-t-il, au juste, dans un organisme, lorsqu'il vieillit ? D'où viennent nos cheveux gris, nos rides, nos articulations douloureuses ? Comment expliquer tout à la fois notre vue qui baisse, notre souffle qui se fait court au moindre effort, notre équilibre qui devient de plus en plus précaire, nos trous de mémoire qui se multiplient ? Y a-t-il une cause unique - et, si oui, laquelle - à nos DMLA, nos cancers du sein ou de la prostate, nos ostéoporoses et nos Alzheimer ?
Oui, il y en a une et une seule, affirme le chercheur de Harvard. Il n'est pas le premier à oser cette hypothèse révolutionnaire. Dans les années 1950, le chimiste américain Denham Harman a avancé l'idée que cette cause unique n'était rien d'autre que la multiplication, dans notre organisme, des radicaux libres, ces molécules dotées d'un ou plusieurs électrons non appariés sur leur couche externe et qui oxydent (c'est-à-dire endommagent) l'ADN.
Cette théorie « radicalaire » du vieillissement a, depuis, été battue en brèche : oui, les électrons non appariés qui prolifèrent dans notre corps à mesure qu'il vieillit provoquent bien des mutations de l'ADN ; mais non, ces mutations ne sont pas la cause du vieillissement. Du moins pas sa cause première. Le marché des antioxydants pesant plusieurs milliards de dollars, le marketing des fabricants de gélules et de boissons explique cependant que cette théorie, quoique dépassée, continue d'avoir la faveur du public.
Neuf signes distinctifs
Les chercheurs spécialisés dans l'étude du vieillissement sont aujourd'hui plus ou moins unanimes à considérer que celui-ci se caractérise par un ensemble de phénomènes qui sont autant de signes distinctifs. Ils en listent précisément neuf, dont l'attrition (ou raccourcissement) des télomères et l'accumulation des cellules sénescentes. Les télomères sont les petits embouts des chromosomes ; à chaque fois qu'une cellule se divise en deux, ces extrémités raccourcissent mais, passé une certaine limite (appelée « limite de Hayflick »), le télomère devenu trop court fait que la pelote d'ADN se défait et la cellule entre en sénescence.
Quand bien même la médecine serait en mesure de guérir tous les cas de maladies cardiovasculaires, notre durée de vie moyenne n'en serait que peu augmentée : de 1,5 an seulement.
Les cellules sénescentes sont des sortes de « cellules zombies » : au lieu de mourir comme elles le devraient, elles se survivent à elles-mêmes et libèrent des signaux de panique sous forme de cytokines, ce qui provoque l'inflammation des cellules saines environnantes. Parmi les autres signes distinctifs du vieillissement, citons encore l'épuisement des cellules souches ou la dégradation de la protéostase, ce processus cellulaire permettant la maintenance des protéines saines et l'élimination des protéines aberrantes.
Chacun de ces neuf signes est aujourd'hui étudié séparément par la communauté scientifique. Mais David Sinclair fait l'hypothèse qu'en amont de ces neuf phénomènes s'en produit un autre, plus fondamental et dont tous les neuf découlent. Son nom : le dérèglement ou « bruit » épigénétique.
Le terme « épigénétique » a été inventé par le biologiste écossais Conrad H. Waddington à Cambridge en 1942. Il désigne l'ensemble des mécanismes biochimiques qui modifient l'expression des gènes tout en laissant inchangés les gènes eux-mêmes, c'est-à-dire la séquence nucléotidique. Pour prendre une image, si le génome était un livre, l'épigénome serait le lecteur qui choisirait de lire tel passage et de sauter tel autre.
Ou, autre métaphore, si le génome était un piano à queue (un piano de bonne taille, puisque ne présentant pas moins de 20.000 touches, nombre estimé de gènes chez l'homme), l'épigénome serait le pianiste. Qui non seulement choisirait de frapper à tel instant telle touche plutôt que telle autre, mais également comment la frapper : pianissimo, forte, tenuto... Comme l'écrit joliment l'auteur de « Pourquoi nous vieillissons », « l'épigénome utilise notre génome pour créer la musique de nos vies ».
Des souris artificiellement vieillies
Cette lecture-interprétation du génome est tout aussi essentielle que le génome lui-même : toutes les cellules de notre corps - nerveuses, cutanées, rénales, hépatiques... - partageant le même génome, c'est le seul épigénome qui, par le truchement de régulateurs, confère aux cellules leur identité propre et qui maintient cette identité au fil de leurs divisions successives. Que ce soit in utero ou dans les premières années, voire les premières décennies de vie, le système est parfaitement bien réglé. Le pianiste joue sa partition, sans (trop de) fausses notes. Mais, arrivé au troisième ou au quatrième mouvement du concerto, la fatigue se fait ressentir : les doigts naguère virtuoses multiplient les couacs ; le bruit épigénétique finit par couvrir la mélodie. On vieillit.
L'impact de cette surcharge du système épigénétique sur l'âge biologique n'est pas qu'une vue de l'esprit. Dans des expériences réalisées sur des souris, le chercheur de Harvard et son équipe ont montré qu'il était possible de jouer sur ce seul levier des régulateurs épigénétiques - en l'occurrence, des enzymes appelées sirtuines - pour accélérer de 50 % le vieillissement de ces petits rongeurs. Ou, au contraire, pour leur redonner au seuil de leur vieillesse (20 mois pour elles, l'équivalent de 65 ans pour nous) la forme physique qu'elles avaient dans la force de l'âge. Ils ont réussi à « transmettre » le vieillissement à des souris jeunes. Et à le « réverser » chez des souris âgées.
Parce que l'information épigénétique (à ne pas confondre avec l'information génétique, encodée dans l'ADN sous forme de A, C, G, T) en constitue la base, David Sinclair a appelé sa théorie « théorie de l'information du vieillissement ». Il affirme haut et fort que ce bruit épigénétique est à la racine de chacun des neuf signes distinctifs, de l'épuisement des cellules souches à la sénescence cellulaire en passant par l'attrition des télomères. Tous les spécialistes ne partagent pas cet avis. Pour démêler le vrai du faux, il nous faudra vieillir encore un peu…
« Une opération délicate ». La Chine a lancé dimanche dans l’espace le deuxième des trois modules de sa station spatiale en cours de construction, une étape cruciale vers la finalisation de l’installation.
L’engin nommé Wentian, d’environ 20 tonnes et sans astronaute à bord, a été propulsé par une fusée Longue Marche 5B à 14h22 (8h22 à Paris) depuis le centre de lancement de Wenchang, sur l’île tropicale de Hainan (sud), selon des images de la télévision publique CCTV.
« Succès total »
Des centaines de passionnés s’étaient rassemblés sur les plages aux alentours pour prendre des photos du lanceur s’élevant dans les airs dans un panache de fumée blanche. Après environ huit minutes de vol, « Wentian s’est séparé avec succès de la fusée pour se placer dans l’orbite prévue », s’est félicitée l’agence spatiale chargée des vols habités (CMSA), qualifiant le lancement de « succès total ». Long de près de 18 mètres et d’un diamètre de 4,2 mètres, ce module-laboratoire doit venir s’amarrer à Tianhe, le premier module de la station qui est déjà en orbite depuis avril 2021.
L’opération d’amarrage constitue un défi pour l’équipage car elle nécessite plusieurs manipulations successives, de haute précision, notamment avec un bras robotisé. « C’est la première fois que la Chine doit amarrer des véhicules aussi grands ensemble » et « c’est une opération délicate », explique Jonathan McDowell, astronome au Centre Harvard-Smithsonian pour l’astrophysique, aux Etats-Unis. Une manipulation qui devra être répétée avec la venue plus tard en 2022 d’un nouveau module-laboratoire. Au final, « cela permettra à la station d’être beaucoup plus performante, avec l’espace et la puissance nécessaires pour réaliser davantage d’expériences scientifiques », souligne Jonathan McDowell.
« Le plus rapide »
Doté de trois espaces de couchage, de toilettes et d’une cuisine, Wentian servira de plateforme de secours pour contrôler la station en cas de défaillance. Le module possède également des espaces pour des expériences scientifiques et comprend un sas qui deviendra le passage privilégié pour les sorties dans l’espace. Nommée en chinois Tiangong («Palais céleste ») mais également connue par son acronyme CSS (pour « Chinese space station » en anglais), la station spatiale chinoise devrait être pleinement opérationnelle d’ici la fin de l’année.
Après Wentian ce week-end, les trois astronautes de la mission Shenzhou-14, actuellement dans la station spatiale, y accueilleront en octobre le troisième et dernier module, Mengtian. La station aura alors sa forme finale en forme de T. Elle sera semblable en taille à la défunte station russo-soviétique Mir. Sa durée de vie devrait être d’au moins 10 ans, voire de 15 ans. « La CSS aura alors achevé sa construction en un an et demi seulement, le rythme le plus rapide de l’histoire pour une station spatiale modulaire », souligne Chen Lan, analyste du site Go Taikonauts.com, spécialisé dans le programme spatial chinois. « En comparaison, les constructions de Mir et de la Station spatiale internationale (ISS) ont duré respectivement 10 et 12 ans. »
Lune et Mars
La finalisation de Tiangong permettra également à la Chine d’effectuer, pour la première fois, un relais d’équipage en orbite. Ce relais devrait intervenir en décembre, lorsque les astronautes de la mission Shenzhou-14, actuellement dans la station spatiale, laisseront leur place à ceux de Shenzhou-15. Tiangong accueillera alors pendant plusieurs jours les six membres d’équipage. La Chine a été poussée à construire sa propre station en raison du refus des Etats-Unis de l’autoriser à participer à l’ISS.
Le géant asiatique investit depuis quelques décennies des milliards d’euros dans son programme spatial. La Chine a envoyé son premier astronaute dans l’espace en 2003. Elle a posé début 2019 un engin sur la face cachée de la Lune, une première mondiale. En 2020, elle a rapporté des échantillons de Lune et finalisé Beidou, son système de navigation par satellite, concurrent du GPS américain. En 2021, la Chine a fait atterrir un petit robot sur Mars et prévoit d’envoyer des hommes sur la Lune à l’horizon 2030.
DÉCRYPTAGE - Cette anomalie génétique touche 40 % des plus de 70 ans et augmente le risque de pathologies cardio-vasculaires.
Le chromosome Y, présent uniquement chez l’homme, peut disparaître avec l’âge. Si cela peut surprendre, le fait est en réalité connu de longue date. Cette anomalie génétique , qui ne touche ni tous les hommes ni toutes les cellules de l’organisme, avait longtemps été considérée comme un simple marqueur de vieillissement.
De nombreuses études ont néanmoins montré ces dernières années que les hommes qui perdaient leur chromosome Y avaient une espérance de vie plus courte et un risque augmenté de cancers, de cirrhose et de maladie d’Alzheimer. Simple association ou réel lien de causalité? Jusqu’ici la question restait en suspens.
Un désert génétique
Une étude publiée dans la revue Science apporte un début de réponse en démontrant avec élégance comment cette perte chromosomique détériore le fonctionnement du cœur. Une découverte importante qui pourrait ouvrir de nouvelles perspectives de recherche sur les pathologies liées à l’âge chez les hommes.