lundi 31 juillet 2023

Windows 11 : cette fonctionnalité de base ne fonctionne plus pour des centaines d’utilisateurs - Phonandroid

Sans que l'on sache encore pourquoi, des centaines d'utilisateurs de Windows 10 et 11 rapportent ne pas pouvoir utiliser la fonction “Mettre à jour et arrêter”. Leurs ordinateurs redémarrent à la place.

windows 11 bug arret
Crédits : 123RF

Contrairement aux bugs Windows 11 documentés assez rapidement, voire immédiatement, par Microsoft, en voici un qui touche plusieurs centaines d'utilisateurs depuis peu, sans que l'on sache d'où il vient. Pire : il est présent sur Windows 10 également, et il n'y a pas vraiment de points communs entre les victimes, comme un numéro de mise à jour qui permettrait de pointer l'origine du problème plus facilement.

Il s'avère que pour ces personnes, la fonction “Mettre à jour et arrêter” du menu Démarrer ne fonctionne tout simplement plus. Lorsqu'elles l'utilisent, l'ordinateur fait bien la mise à jour, mais revient ensuite sur l'écran de connexion à son compte Microsoft, ou sur le bureau s'il n'y pas de mot de passe à taper. Chez certains, cela arrive une fois sur deux. Chez d'autres, systématiquement, et ce même s'ils ont la dernière mise à jour en date d'installée.

Pourquoi la fonction “Mettre à jour et arrêter” ne marche pas

Interrogé par Windows Latest, un ancien développeur de chez Microsoft avance deux hypothèses. La première est assez “classique”. Si vous ne mettez pas à jour votre PC régulièrement et qu'il doit donc en installer plusieurs à suivre, certaines nécessitent un redémarrage avant de passer à la suivante. Dans ce cas, le redémarrage est prioritaire sur l'arrêt de la machine. Une autre cause possible est à chercher du côté de la fonction “Démarage rapide” (Fast Startup).  Elle permet de redémarrer plus vite l'ordinateur en stockant des informations dans un fichier lors de l'arrêt.

Lire aussi – Windows 11 : la dernière mise à jour casse le menu Démarrer si vous utilisez un certain type de logiciel

En cas de malfonctionnement, la fonctionnalité redémarre le PC au lieu de le laisser s'éteindre. Il est intéressant de noter que ce bug existe depuis longtemps et touche périodiquement des utilisateurs au fil des mises à jour de Windows. Pour l'instant, Microsoft n'a pas communiqué d'informations à son propos. Devant l'hétérogénéité des profils des victimes, il est très possible que le bug disparaisse de lui-même lors d'une future MàJ sans être corrigé spécifiquement.

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PS5 : vous pourrez bientôt stocker beaucoup plus de jeux et profiter du Dolby Atmos - Phonandroid

Sony vient de déployer une nouvelle version bêta de la PlayStation 5 qui ajoute un certain nombre de nouvelles fonctionnalités, notamment la prise en charge des périphériques HDMI Dolby Atmos.

PS5

Sony a publié une mise à jour bêta du firmware pour la PS5, qui propose une série de nouvelles options audio et d'accessibilité. La mise à jour est déjà proposée à certains utilisateurs aux États-Unis, au Canada, au Japon, au Royaume-Uni, en Allemagne et en France, avant qu’elle ne soit proposée d’ici quelques semaines à tous les utilisateurs.

Au programme, plusieurs nouvelles fonctionnalités, dont notamment la possibilité d'assigner une deuxième manette en tant que “manette d'assistance” à un seul compte, ce qui permet aux joueurs de collaborer sur le même écran. De plus, les utilisateurs peuvent désormais activer le retour haptique lorsqu'ils naviguent dans le menu système de la PS5, ce qui améliore l'immersion des joueurs malvoyants ou malentendants. Cependant, il ne s’agit pas des ajouts les plus notables de cette nouvelle version.

Lire également – La PS5 dépasse les 40 millions de ventes, une ascension record malgré un parcours difficile

La mise à jour de la PS5 va améliorer le son de la console

La nouveauté majeure ajoutée par la mise à jour est la prise en charge des appareils HDMI Dolby Atmos tels que les barres de son, les téléviseurs ou les systèmes de home cinéma. Cela permettra à la console de transmettre la fonction 3D Audio de la PS5 aux appareils Atmos en restituant les canaux 3D Audio aux haut-parleurs compatibles Atmos.

En d’autres termes, si vous disposiez d'un système audio Dolby Atmos, vous ne pouviez jusqu’alors pas profiter des haut-parleurs orientés vers le haut et des autres fonctions de son surround de l'équipement. Avec cette nouvelle version, Sony va donc corriger ce défaut, et ainsi améliorer le rendu sonore des jeux prenant en charge l’audio 3D, ou des séries et films compatibles Dolby Atmos sur Netflix ou encore Apple TV.

Enfin, notons que Sony ajoute également la prise en charge de SSD M.2 plus volumineux à la PS5. Vous pourrez désormais installer un disque SSD de 8 To sur la console. Auparavant, il fallait se contenter de « seulement » 4 To de SSD supplémentaires.

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Test Dangbei Mars : un vidéoprojecteur laser Full HD très lumineux avec Netflix intégré - Les Numériques

Présentation

Le vidéoprojecteur Dangbei Mars dispose d'une puce DLP Texas Instruments 0,47 pouce DMD affichant une définition native Full HD de 1920 x 1080 pixels. Il n'utilise pas la wobulation (affichage extrêmement rapide de plusieurs images qHD décalées les unes des autres) à 240 Hz et produit donc une image très nette.

La puce est couplée à une source laser produisant une luminosité annoncée de 2100 lumens. Ce laser permet de bénéficier du meilleur des deux mondes, à savoir la forte luminosité d'une lampe ultra haute pression (UHP) et la très grande durée de vie des leds. Dangbei annonce une durée de vie de 30 000 h pour ce laser ALPD 2.0 (Advanced Laser Phosphor Display). Le vidéoprojecteur embarque également un système audio composé de deux haut-parleurs de 10 W.

Comme chez Xgimi, le modèle Dangbei est doté d'une caméra en façade et d'un capteur ToF (Time of Flight, ou temps de vol) pour effectuer la mise au point, corriger le trapèze automatiquement — très pratique quand on déplace souvent l'appareil et qu'il est désaxé —, et même redimensionner l'image afin d'éviter les objets grâce à la détection d'obstacle. Ce système déjà présent sur le Mars Pro est très efficace et pratique, mais gare à la perte de définition plus facile à gérer sur un modèle Ultra HD que sur ce modèle Full HD.

Du côté du système d'exploitation, on retrouve une version personnalisée d'Android animée par un processeur ARM quadricœur associé à 1 Go de RAM et 8 Go d'espace de stockage. Il embarque nativement l'application Netflix qui fonctionne en Full HD. Le vidéoprojecteur dispose aussi du wifi 5 et du Bluetooth 5,0.

Le Dangbei Mars est vendu environ 1100 €, mais bénéficie régulièrement de promotions qui font passer son prix à moins de 1000 €, très acceptable pour un modèle laser Full HD.

Le Dangbei Mars (Full HD1080p donc) en action.

Le Dangbei Mars (Full HD1080p donc) en action.

Note de la rédaction: 3 sur 5

Qualité d'image 2D

Ce vidéoprojecteur est muni d'une optique fixe avec un rapport de 1,27:1 et pouvant projeter une image de 2,4 m de base avec un recul de 3 m. Nous avons réalisé nos mesures à 2,5 m afin d'obtenir une image de 2 m de base, comme pour les autres projecteurs testés.

Le modèle Dangbei n'offre pas de lens shift (dispositif optique permettant de déplacer verticalement ou horizontalement l'image projetée sans la déformer ou déplacer l'appareil), mais il est possible de modifier le trapèze horizontal et vertical pour compenser son éventuelle inclinaison… au prix toutefois d'une légère perte de définition. L'optique en verre est de bonne qualité et le piqué est excellent sur le modèle Full HD natif.

Comme la version 4K, le Mars embarque un système de mise au point et de trapèze automatiques. À chaque démarrage, le vidéoprojecteur effectue la mise au point pour garantir la netteté. Le réglage du trapèze se retrouve quant à lui dans les réglages. Le vidéoprojecteur affiche une mire à l'écran et ajuste le trapèze en fonction du résultat de la photo capturée par la caméra en façade. Le système peut aussi adapter l'image en fonction des obstacles. Par exemple, s'il y a une plante dans l'image projetée, celle-ci sera redimensionnée pour rester sur un côté.

Colorimétrie

Colorimétrie

Colorimétrie

Note de la rédaction: 3 sur 5

Delta E = 6,4

Le mode Cinéma offre (si l'on peut dire) la meilleure qualité d'image. Nous avons mesuré un delta E moyen à 6,4, une valeur largement supérieure à 3, seuil au-delà duquel l'œil humain perçoit la différence entre les nuances de couleurs. Les couleurs sont donc peu fidèles, sans pour autant rendre le vidéoprojecteur inutilisable.

Courbe de gamma

Courbe de gamma

Gamma

Note de la rédaction: 4 sur 5

2,0

En réglant le gamma sur Sombre, nous avons mesuré la moyenne du gamma à 2, une valeur assez proche de celle de référence (2,2). Surtout, la courbe affiche une belle stabilité sur les niveaux de gris les plus foncés. C'est avant tout les gris très clairs qui sont surexposés.

Courbe de température

Courbe de température

Température

Note de la rédaction: 3 sur 5

8860 K

Si la courbe affiche une relative stabilité sur l'ensemble du spectre, la température moyenne mesurée (8860 K) est largement supérieure avec la valeur de référence de la norme vidéo (6500 K). Cela se traduit par une image assez froide qui tire légèrement vers le bleu. Malheureusement, il n'y a aucun réglage simple (autre que les réglages des primaires rouge, vert, et bleu) permettant de retrouver une température des couleurs correcte.

Contraste

Contraste

Note de la rédaction: 3 sur 5

730:1

Sur notre mire contenant 1 % de blanc, le contraste est mesuré à un taux de seulement 727:1 et descend à 207:1 sur notre mire contenant 35 % de blanc. Le plus impressionnant reste la luminosité très élevée mesurée à 207 cd/m², soit plus que les 150 cd/m² du Mars Pro 4K pourtant censé être plus lumineux. Cette différence s'explique tout simplement par l'utilisation d'une puce DLP native qui fait fi de la wobulation et ne perd donc pas de luminosité.

En revanche, nous nous attendions à un meilleur contraste. Les modèles équipés d'une puce DLP 0,47 Full HD affichent souvent un contraste supérieur à 1000:1. Les meilleurs vidéoprojecteurs comme le Sony VW290ES revendiquent un contraste natif de 2820:1. Dans la pratique, ce faible contraste se traduit par des noirs grisâtres qui manquent globalement de profondeur. Notons que ce contraste limité a peu d'impact sur les émissions TV ou le visionnage du sport, par exemple.

Comme sur tous les vidéoprojecteurs Mono-DLP (une seule puce DLP), l'effet arc-en-ciel est visible, mais limité. Ce phénomène plus ou moins visible, voire pas du tout selon les personnes et les images, se traduit par de petits arcs-en-ciel autour des objets lumineux sur un fond sombre. Ce vidéoprojecteur n'offre pas de moteur de compensation de mouvement (MEMC).

Le Dangbei Mars avec son alimentation externe et sa télécommande.

Le Dangbei Mars avec son alimentation externe et sa télécommande.

Le Mars 1080p affiche un retard à l'affichage (input lag) de 57,4 ms. Cela se traduit par un retard d'un peu plus de 3 images par rapport à la source à 60 Hz. La latence entre l'action à la manette et sa répercussion à l'écran est mesurée, mais reste perceptible. Les compétiteurs passeront leur chemin en se tournant vers un vidéoprojecteur plus réactif comme le BenQ W1800i avec un retard à l'affichage de seulement 17 ms.

Note de la rédaction: 4 sur 5

Fonctions et ergonomie

Le vidéoprojecteur Dangbei Mars, un modèle laser 1080p.

Le vidéoprojecteur Dangbei Mars, un modèle laser 1080p.

Le Dangbei Mars mesure 24,6 x 20,9 x 17,3 cm pour un poids d'environ 4,6 kg. Identiques à celles du Mars Pro 4K, ces dimensions sont compactes pour un modèle Ultra HD 4K, mais pas forcément pour un modèle Full HD.

Sur la gauche, on retrouve les capteurs pour adapter automatiquement l'image au mur. Cette fonctionnalité permet d'obtenir une image toujours à l'horizontale avec un trapèze presque parfait, et même d’éviter les obstacles ou ajuster la taille de l'image à celle de l'écran de projection.

Le dessous du vidéoprojecteur.

Le dessous du vidéoprojecteur.

En dessous, on découvre un trou de fixation standard pour une installation au plafond ou sur un trépied. Ce dernier devra être très costaud pour supporter les 4,6 kg de ce modèle. Les quatre pieds sont réglables afin de gérer l'assiette du vidéoprojecteur.

Le dessus.

Le dessus.

Sur le dessus, un unique bouton tactile pour la mise sous tension. Le point noir au centre est l'emplacement du capteur de luminosité, qui n'est présent que sur le Mars Pro 4K (les deux modèles partagent le même châssis).

La connectique.

La connectique.

La connectique se compose de deux entrées HDMI 1.4, dont une compatible ARC, deux ports USB 2.0, une sortie audio analogique mini-jack, une sortie audio numérique optique (SPDIF) et un port Ethernet. Ce modèle ne dispose pas d'un interrupteur 12 V pour déployer automatiquement un écran mécanique, par exemple. En revanche, il jouit du wifi 802.11n et du Bluetooth 5.0 et embarque deux enceintes de 10 W de bonne qualité.

Android 9 avec l'interface de Dangbei.

Android 9 avec l'interface de Dangbei.

Les réglages.

Les réglages.

Le Dangbei Mars est muni d'une version maison d'Android 9 traduite approximativement en français. Ce modèle se contente de 1 Go de mémoire vive et de 8 Go de stockage, mais il est plutôt fluide à l'usage.

La boutique d'applications Netrange.

La boutique d'applications Netrange.

Beaucoup d'applications allemandes, mais on retrouve tout de même France 24…

Beaucoup d'applications allemandes, mais on retrouve tout de même France 24…

Comme tous les systèmes Android modifiés, l'accès au Google Play Store n'est pas autorisé. Dangbei propose la boutique d'applications Netrange qui ne regroupe que très peu d'applications connues. On retrouve par exemple Plex et Docubay, mais on cherche encore les Disney+, Apple TV, Paramount, et encore plus les applications de streaming françaises (myCanal, Molotov, OCS, etc.). En revanche, alors que les vidéoprojecteurs Xgimi portant la version officielle d'Android TV n'y ont pas accès, ce modèle Dangbei embarque bien l'application Netflix nativement avec un contrôle complet à la télécommande et la diffusion des contenus en Full HD. Un bouton d'accès direct à Netflix est même présent sur la télécommande.

La télécommande.

La télécommande.

Celle-ci est légère, plutôt basique, mais permet de naviguer facilement dans le système, faire la mise au point, régler le volume et accéder aux différents réglages. Les touches ne sont pas rétroéclairées, mais assez peu nombreuses pour que ce ne soit pas un problème. Enfin, elle fait l'impasse sur le micro puisque le système d'exploitation de Dangbei ne propose pas cette fonctionnalité.

Points forts

  • Luminosité élevée.

  • Piqué de l'image.

  • Concept tout-en-un.

  • Silence de fonctionnement.

  • Mise au point et correction du trapèze.

  • Détection d’obstacle très pratique.

  • Sortie de veille instantanée.

  • Système fluide et réactif.

Points faibles

  • Système Android personnalisé (pas d'accès au Google Play Store).

  • Peu d'applications françaises.

  • Perte de définition visible lors de l'utilisation de la correction trapézoïdale.

  • Qualité d'image perfectible (fidélité et température des couleurs).

  • Retard à l'affichage.

  • Traduction approximative.

Conclusion

Note globale
Note de la rédaction: 3 sur 5

Comment fonctionne la notation ?

Le Dangbei Mars est un vidéoprojecteur laser Full HD très lumineux. Le système automatique de mise au point et de correction du trapèze est efficace, tout comme la qualité audio et l'intégration de l'ensemble. Pour autant, ce vidéoprojecteur ne semble pas véritablement conçu pour le marché français. À l'exception de Netflix, YouTube et Prime Video, il y a très peu d'apps proposées. Si l'on ajoute à cela une calibration perfectible, un retard à l'affichage trop élevé et des traductions approximatives, on se retrouve avec un vidéoprojecteur un peu au-dessus de la moyenne, qui intéressera surtout ceux qui cherchent une forte luminosité à un prix contenu.

Sous-Notes
  • Fonctions et ergonomie
    Note de la rédaction: 4 sur 5
  • Qualité d'image 2D
    Note de la rédaction: 3 sur 5
  • Consommation et niveau de bruit
    Note de la rédaction: 4 sur 5

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Test MSI Clutch GM51 Lightweight Wireless : une souris gaming sans-fil au tarif agressif - Les Numériques

Note de la rédaction: 4 sur 5

Ergonomie

La GM51 Lightweight Wireless est assez imposante, mais épouse très bien la paume de la main avec ce format biseauté que l’on trouve également chez la concurrence. Son format est donc parfait pour une prise en palm grip (en paume), mais il est aussi possible de rester en claw grip (prise en griffe) ou en fingertip (du bout des doigts). Comme souvent, elle est réservée aux seuls droitiers. Elle se place directement en face de la DeathAdder V3 Pro de Razer, mais sans l’aspect ultraléger puisque la souris de MSI pèse 85 g, tout de même. Elle est cependant plus légère que les Basilisk de Razer ou G502X de Logitech qui dépassent 100 g, tout en proposant moins de fonctionnalités et de polyvalence.

Le format ergonomique de la souris est agréable, mais n'arbore que cinq boutons.

Le format ergonomique de la souris est agréable, mais n'arbore que cinq boutons.

La GM51 ne possède que cinq boutons programmables, ce qui peut paraître un peu limité pour ce format et ce poids notable. Les boutons principaux sont parfaitement réactifs et munis de commutateurs Omron garantis pour 60 millions de clics. On trouve deux boutons secondaires sur la tranche gauche, également réactifs, mais pas bien ancrés à leur emplacement, ce qui entache un peu la qualité de fabrication de la souris. Un autre bouton est évidemment présent au niveau de la molette, et c'est tout. Celle-ci est simplement crantée et n'intègre pas de défilement latéral ni libre, sans que cela soit une étrangeté parmi les modèles gaming. Pour régler la sensibilité à la volée, il faudra passer par le bouton situé sous la souris.

Les boutons secondaires ne sont pas parfaits.

Les boutons secondaires ne sont pas parfaits.

À côté de ce bouton trônent six patins en PTFE qui assurent une glisse fluide, ainsi qu'un interrupteur pour sélectionner la connexion 2,4 GHz ou Bluetooth. Il est toujours bon de disposer des deux options, notamment en déplacement si on ne veut pas s’embêter avec le récepteur. Petite originalité, ce dernier peut être rangé à l’avant de la souris, au niveau du branchement USB-C pour la recharge.

Sous la souris.

Sous la souris.

Vous risquez de ne pas vraiment utiliser cet USB-C puisqu’un dock de charge est fourni avec la GM51, un petit bonus sympathique pour ranger la souris et ne pas avoir à se soucier de l'autonomie. Cette base se branche en USB-C au PC et peut accueillir le dongle 2,4 GHz, ce qui évite d’occuper deux emplacements sur l’ordinateur. L’autonomie est par ailleurs annoncée à 150 h, éclairages désactivés. D’après la marque, 15 min de charge assurent 7 h d’utilisation, de quoi voir venir avant de tomber à sec.

La souris posée sur sa base de recharge.

La souris posée sur sa base de recharge.

On remarque sur les tranches de la souris un revêtement texturé pour une bonne préhension, mais aussi des rangées de leds qui permettent de personnaliser le rétroéclairage de l'appareil. On peut évidemment gérer tout cela dans un logiciel MSI, mais le Dragon Center semble avoir été abandonné au profit du MSI Center. Celui-ci est honnêtement peu esthétique et ne respire pas la fluidité, mais lisez notre encadré un peu plus loin pour en savoir plus sur les fonctionnalités qu’il propose.

Points forts

  • Bonne ergonomie.

  • Bon capteur optique.

  • Station de charge fournie.

  • Connexion Bluetooth et 2,4 GHz.

  • Personnalisation RGB possible.

Points faibles

  • Un peu lourde (85 g).

  • Seulement cinq boutons programmables.

  • Boutons secondaires un peu “cheap”.

  • Interface du logiciel MSI Center à améliorer.

Conclusion

on a testé on a aimé
Note globale
Note de la rédaction: 4 sur 5

Comment fonctionne la notation ?

La MSI Clutch GM51 Lightweight Wireless est une souris gaming efficace parée d’un très bon capteur, somme toute assez basique avec peu de boutons, une simple molette crantée et un poids relativement élevé. Elle offre un éclairage RGB et une base de charge en bonus. Ses compromis sur les fonctionnalités lui permettent d'être moins chère que la concurrence, et lors de promotions, son rapport qualité-prix peut s’avérer très intéressant pour une souris gaming sans-fil.

Sous-Notes
  • Ergonomie
    Note de la rédaction: 4 sur 5
  • Précision
    Note de la rédaction: 4 sur 5

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Galaxy Ring : Samsung pourrait vous passer la bague au doigt dès l'an prochain - Frandroid

D'après le site The Elec, le projet de bague connectée de Samsung serait prêt à rentrer en production de masse dès le mois prochain pour un lancement en 2024.

La bague Oura Ring 3 pour illustration
La bague Oura Ring 3 pour illustration // Source : Oura

Il y a quelques jours, on apprenait que Samsung avait commencé à développer des prototypes de bague connectée pour un lancement à moyen ou long terme. Si l’on ignorait alors le calendrier de production du constructeur coréen, il semble que les choses se soient finalement accélérées ces dernières semaines.

D’après les informations du site coréen The Elec, généralement très bien informé sur les lignes de production, Samsung aurait terminé la phase de développement de sa première bague connectée, la Samsung Galaxy Ring. La production pourrait ainsi être lancée dès le mois d’août :

Le développement préliminaire de la Galaxy Ring est désormais au stade de la concrétisation du concept. Lorsque la production de masse sera lancée en août, le développement du produit commencera sérieusement.

Selon The Elec, Samsung aurait donc le feu vert pour lancer la production de masse de son anneau connecté, les derniers prototypes ayant été suffisamment convaincants pour un lancement global du produit. Reste qu’il ne s’agit pour l’heure que d’une fenêtre de tir pour le mois d’aout et Samsung pourrait décider de lancer sa production quelques mois plus tard. Après tout, rien ne presse, selon le site coréen. Même en cas de production dès le mois prochain, la bague connectée ne devrait être lancée que dans le courant de l’année prochaine.

Une bague certifiée comme dispositif médical

Ce délai entre la phase de production et l’annonce officielle du produit s’expliquerait par les certifications nécessaires à certaines fonctions. Comme c’est le cas de l’électrocardiogramme ou de l’analyse de la tension sur ses Galaxy Watch, Samsung compte proposer certaines mesures faisant de la Galaxy Ring un dispositif médical. Selon The Elec, cette phase d’homologation pourrait encore durer de 10 à 12 mois, ce qui pourrait repousser la sortie de la Galaxy Ring à l’été prochain, sans doute en même temps que les Galaxy Watch 7 et les Galaxy Z Flip et Fold 6.

Ce serait alors un aboutissement pour Samsung après des années de développement. Les premières rumeurs autour d’une bague connectée Samsung datent de 2015. Même si les choses semblent s’être accélérées cette année, Samsung aurait finalement opté pour une bague connectée orientée vers la santé avec une mesure de la fréquence cardiaque. L’anneau pourrait également être utilisé dans le cadre du casque de réalité mixte de Samsung pour gérer les contrôles des mains.

Il faudra encore patienter avant d’en savoir plus sur la Galaxy Ring. Néanmoins, le fait qu’un acteur majeur des technologies se lance sur ce marché pourra relancer son attrait en plus des marques existantes comme Oura, Circular ou Noise.


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dimanche 30 juillet 2023

Test Honor 90 : un smartphone qui tient tête aux ténors du milieu de gamme - Les Numériques

Le Honor 90 affiche de réelles ambitions en photo, ce qui se ressent dans la configuration embarquée. On profite en effet d’un capteur principal de 200 mégapixels dont l’objectif ouvre à f/1,9, ainsi qu’un module ultra grand-angle de 12 Mpx (f /2,2). Un capteur de profondeur de 2 Mpx (2,4) parachève l’ensemble.

Sur ce segment tarifaire, il fait face au Google Pixel 7 qui excelle dans l’exercice. Nous allons donc le comparer à ce dernier.

Module principal : 200 Mpx, f/1,9

Le Honor 90 utilise la technique du pixel-binning qui consiste à réunir plusieurs pixels (ici 16) en un afin de capturer plus de lumière quand cette dernière vient à manquer. Le capteur de 200 Mpx capture donc des photos de 12,5 Mpx par défaut.

Google Pixel 7 (12,5 Mpx, f/1,85, éq. 26 mm, ISO 48, 1/85 s)
Honor 90 (12,5 Mpx, f/1,9, ISO 102, 1/138 s)

En journée, le Honor 90 livre des clichés très solides, qui profitent d’un bon niveau de détails. Toutefois, l’ensemble est un peu surexposé et la colorimétrie un brin trop vive, comme on peut le constater sur les tons bleus et jaunes des différentes cartes. Cela devrait certes flatter la rétine, mais le Pixel 7 propose un rendu nettement plus naturel et profite d’un piqué bien plus élevé pour des images bien moins lissées que celles du Honor 90.

Google Pixel 7 (12,5 Mpx, f/1,85, éq. 26 mm, 1/24 s)
Honor 90 (12,5 Mpx, f/1,9, ISO 4260, 1/20 s)

Dans l’obscurité, l’écart se creuse un peu plus. Si le Honor 90 retranscrit plutôt bien la scène, le niveau de détail chute assez clairement (notamment en périphérie) et le bruit numérique fait son apparition. La gestion de l’exposition n’est pas idéale et le cliché arbore une teinte rouge assez marquée, que l’on retrouve parfois sur certains modèles Xiaomi. Le bruit numérique apparaît également sur le Pixel 7, mais le piqué reste très bon. L’exposition et la colorimétrie sont aussi bien plus convaincantes.

Mode 200 Mpx

Mode 200 Mpx – Nuit
Mode 200 Mpx – Jour

Pour profiter de la pleine définition, il faut se rendre dans l’onglet Plus de l’app photo. Quand la lumière est abondante, on constate un beau gain en détail. Le contraste et le lissage numérique sont un peu moins appuyés et la colorimétrie un peu plus juste. C’est nettement moins probant de nuit. Il est quoi qu'il en soit possible d’opérer d’importants recadrages si besoin ; avec un tel capteur, le zoom numérique x2 donne également de très bons résultats. Les clichés prennent en revanche beaucoup de place sur le stockage mais, heureusement, ce dernier est particulièrement généreux.

Module ultra grand-angle : 12 Mpx, f/2,2

Google Pixel 7 (12 Mpx, f/2,2, éq. 17 mm, ISO 54, 1/100 s)
Honor 90 (12 Mpx, f/2,2, ISO 120, 1/100 s)

Dans de bonnes conditions, ce capteur livre un cliché de bonne qualité, bien que légèrement surexposé. Le niveau de détail est assez élevé et les petits éléments comme les mires sont assez bien retranscrits. Les couleurs sont en revanche une nouvelle fois un peu trop saturées. Le Pixel 7 livre probablement l'un des meilleurs résultats sur ce type de module (même en périphérie), puisqu’il se rapproche de celui du grand-angle. Une fois encore, on profite de plus de détails et de teintes bien plus naturelles.

Google Pixel 7 (12 Mpx, f/2,2, éq. 17 mm, ISO 1130, 1/8 s)
Honor 90 (12 Mpx, f/2,2, ISO 2982, 1/10 s)

Les photos à l’ultra grand-angle de nuit ne sont que très rarement convaincantes, et c’est toujours le cas ici. Il faut toutefois noter que le Honor 90 s’en sort mieux que le Pixel 7 dans ces conditions. On perd évidemment beaucoup en détails, mais le lissage numérique et le renforcement du contraste permettent de profiter d’une image plus lisible. Chez Google, le bruit numérique se fait vraiment trop ressentir. Le fabricant chinois s’en sort donc mieux, même si les deux rendus restent compliqués à exploiter pleinement.

Module frontal et vidéo

Le smartphone dispose d’un capteur de 50 Mpx (f /2,4) logé à l’avant, une définition impressionnante qui n’est pas toujours gage de qualité. Avec le pixel binning configuré par défaut, le terminal capture en 12,5 Mpx. Les selfies sont de très bonne qualité. Le niveau de détail et le piqué sont vraiment convaincants et la gestion de la dynamique excellente. La colorimétrie est même un peu plus naturelle que sur le capteur principal. Il est possible d’utiliser la définition maximum (via l’onglet Plus), mais ce mode n’apporte pas assez de changements, tout en occupant nettement plus d’espace.

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Garmin lance sa nouvelle référence des compteurs GPS vélo, mais avec un petit sacrifice - Frandroid

Garmin a dévoilé son nouveau compteur GPS haut de gamme, le Garmin Edge 1050. S'il profite d'un écran plus défini, il perd cependant...